Archi­ves

Com­pé­tence selon le § 34a GewO

Tra­vail­ler com­me agent de sécu­ri­té 34a : que fai­re si le chef sup­p­rime des services ?

Travailler comme agent de sécurité 34a : que faire si le chef supprime des services ?

Dans le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée, le tra­vail en équi­pe, le tra­vail de nuit et le tra­vail les jours fériés sont des con­di­ti­ons de tra­vail cou­ran­tes. Les agents de sécu­ri­té effec­tu­ent sou­vent un tra­vail dif­fi­ci­le pour assurer la sécu­ri­té des instal­la­ti­ons, des évé­ne­ments et des per­son­nes. Mal­heu­reu­se­ment, les Les salai­res dans ce sec­teur se situ­ent sou­vent dans le sec­teur des bas salai­res com­me par exemp­le le ser­vice de sur­veil­lan­ce sépa­rée. Si, en plus, des heu­res sont sup­p­ri­mées de maniè­re inat­ten­due, par exemp­le par­ce que l’em­ploy­eur perd un cont­rat important, et que l’on n’ar­ri­ve pas à att­eind­re son temps de tra­vail men­suel thé­o­ri­que (ou pour d’au­t­res rai­sons), un agent de sécu­ri­té 34a peut se retrou­ver dans une situa­ti­on finan­ciè­re dif­fi­ci­le. Cet artic­le met en lumiè­re les rai­sons qui con­dui­sent à la sup­pres­si­on de jours de tra­vail et pré­sen­te les pos­si­bi­li­tés qui s’offrent alors au col­la­bo­ra­teur de sécurité.

Quel­les sont les rai­sons pos­si­bles pour les­quel­les mon employ­eur me pla­ni­fie moins de jours de travail ?

Tout d’a­bord, il con­vi­ent d’a­bor­der briè­ve­ment le point de vue de l’entre­pri­se de sécu­ri­té. Dans la plu­part des cas, le fait que vous soyez moins sou­vent sur le tableau de ser­vice n’a (espé­rons-le) rien à voir avec vous per­son­nel­le­ment, mais avec des rai­sons opé­ra­ti­on­nel­les. Si l’em­ploy­eur les expli­que de maniè­re trans­pa­ren­te et que vous pou­vez les com­prend­re, cela off­re un meil­leur point de départ pour une solu­ti­on du pro­blè­me qui peut être accep­tée par les deux par­ties. Il est tou­te­fois pos­si­ble que cela con­dui­se à un con­gé-modi­fi­ca­ti­on ou à la recher­che d’un nou­vel emploi. Mais il se peut aus­si que la “péri­ode de vaches maig­res” soit cour­te et que vous puis­siez com­pen­ser les heu­res en tra­vail­lant plus le mois sui­vant ou que l’em­ploy­eur fas­se un ges­te envers vous d’u­ne aut­re manière.

Voi­ci dix rai­sons pos­si­bles pour les­quel­les vot­re employ­eur sou­hai­te rédui­re vos heu­res de travail :

  1. Baisse de la deman­de des cli­entsIl pour­rait y avoir moins de deman­de de ser­vices de sécu­ri­té, ce qui ent­raî­nerait une réduc­tion des heu­res de tra­vail nécessaires.
  2. Ralen­tis­se­ment éco­no­mi­queLa situa­ti­on éco­no­mi­que s’est peut-être dété­rio­rée, ce qui a ent­raî­né des rest­ric­tions de res­sour­ces et des réduc­tions de coûts.
  3. Chan­ge­ments dans la stra­té­gie com­mer­cia­leVot­re employ­eur a peut-être modi­fié sa stra­té­gie com­mer­cia­le, ce qui ent­raî­ne une adapt­a­ti­on des res­sour­ces humaines.
  4. Rota­ti­on du per­son­nel: Il est pos­si­ble que le per­son­nel fas­se l’ob­jet d’u­ne rota­ti­on afin de per­mett­re à tous les employés de tra­vail­ler et de répar­tir les heu­res de tra­vail de maniè­re plus équitable.
  5. Nou­vel­les tech­no­lo­gies ou auto­ma­tis­a­ti­on: Les Intro­duc­tion de nou­vel­les tech­no­lo­gies ou de sys­tè­mes auto­ma­ti­sés pour­rait avoir pour effet de rédui­re le nombre d’em­ployés nécessaires.
  6. Varia­ti­ons sai­son­niè­resLes heu­res de tra­vail pour­rai­ent être sou­mi­ses à des varia­ti­ons sai­son­niè­res, par exemp­le lors­que les beso­ins en per­son­nel de sécu­ri­té sont moind­res cer­ta­ins mois.
  7. Chan­ge­ments dans les cont­rats avec les cli­ents: Il est pos­si­ble que les cont­rats avec les cli­ents aient chan­gé et que cela ent­raî­ne une dimi­nu­tion du volu­me de travail.
  8. Rest­ric­tions léga­lesIl pour­rait y avoir de (nou­vel­les) rest­ric­tions léga­les, com­me par exemp­le des limi­tes maxi­ma­les pour les heu­res de tra­vail ou les temps de repos ent­re les équipes. Ou bien les direc­ti­ves existan­tes (par exemp­le cel­les de la loi sur le temps de tra­vail) sont désor­mais mieux respectées.
  9. fer­me­tu­re annuel­le ou pau­se sai­son­niè­reIl se peut que vot­re employ­eur ait déci­dé de rédui­re les heu­res de tra­vail pen­dant cer­tai­nes péri­odes, com­me les vacan­ces ou les pau­ses sai­son­niè­res (des cli­ents). La pan­dé­mie Covid, par exemp­le, avait éga­le­ment ent­raî­né des per­tur­ba­ti­ons tem­po­rai­res au sein du secteur. 
  10. Res­truc­tu­ra­ti­ons inter­nes à l’entre­pri­seVot­re employ­eur pour­rait pro­cé­der à une res­truc­tu­ra­ti­on inter­ne qui ent­raî­nerait une rééva­lua­ti­on des heu­res de tra­vail et de la répar­ti­ti­on des ressources.

Quel­les sont les pos­si­bi­li­tés dont je dis­po­se si mon employ­eur me deman­de de tra­vail­ler moins ?

Bien sûr : une ou deux heu­res ou pas — cela ne vaut pas la pei­ne de dis­cu­ter. Mais une per­te de 20, 30, 40%, voi­re plus, d’heu­res de tra­vail, c’est énor­me, car vous devez aus­si gagner vot­re vie. Le chef vous raye donc lar­ge­ment du tableau de ser­vice, vous affec­te à des équipes signi­fi­ca­ti­ve­ment moins nombreu­ses que d’ha­bi­tu­de et vous n’ar­ri­vez pas à fai­re vos heu­res — vous avez alors les pos­si­bi­li­tés suivantes :

  1. Véri­fier le cont­rat de tra­vail !
    C’est le point le plus important. En effet, ce qui est géné­ra­le­ment déter­mi­nant, c’est ce qui a été con­venu dans vot­re cont­rat de tra­vail. En effet, s’il y est men­ti­onné par exemp­le “temps plein”, l’em­ploy­eur est éga­le­ment tenu de vous employ­er en con­sé­quence. Ce que l’on entend par “temps plein” est géné­ra­le­ment défi­ni dans la con­ven­ti­on coll­ec­ti­ve cor­re­spond­an­te. Sou­vent, un nombre d’heu­res con­cret est éga­le­ment con­venu. Si vot­re cont­rat de tra­vail sti­pu­le par exemp­le 170 heu­res par mois, ce nombre d’heu­res doit en prin­ci­pe être respec­té (à l’ex­cep­ti­on de peti­tes varia­ti­ons, par exemp­le en rai­son de rem­pla­ce­ments pour cau­se de maladie).
  2. Con­sul­ter le tableau de ser­vice !
    Sou­vent, la pla­ni­fi­ca­ti­on des ser­vices dans le domaine de la sécu­ri­té, par exemp­le dans la pro­tec­tion de l’u­si­ne, se fait sur la base d’un ryth­me d’é­qui­pe défi­ni. Cela per­met de pla­ni­fier à l’a­van­ce, avec une cer­taine impré­cis­i­on bien sûr (par exemp­le en rai­son de l’é­ter­nel plan­ning des con­gés à venir). Le tableau de ser­vice con­cret pour le mois sui­vant est tou­te­fois déter­mi­nant : s’il y a par exemp­le 20 équipes, vous avez le droit de tra­vail­ler éga­le­ment ce nombre d’é­quipes. Une fois publié, un tableau de ser­vice ne peut être modi­fié qu’en accord avec les travailleurs.
  3. Cher­cher le dia­lo­gue et pro­po­ser acti­ve­ment une pre­sta­ti­on de tra­vail !
    Beau­coup de cho­ses peu­vent être cla­ri­fiées par la com­mu­ni­ca­ti­on. Cher­chez le dia­lo­gue avec vot­re supé­ri­eur et le con­sen­sus. Important : fai­tes savoir que vous n’êtes pas d’ac­cord avec les chan­ge­ments et pro­po­sez expres­sé­ment vot­re pre­sta­ti­on de tra­vail ! Vot­re employ­eur est tenu de vous four­nir le tra­vail con­for­mé­ment au cont­rat de tra­vail existant, vous met­tez vot­re pre­sta­ti­on de tra­vail à dis­po­si­ti­on con­for­mé­ment au contrat. 
  4. Vot­re employ­eur ne réa­git pas ? Relan­cez par écrit !
    Atti­rez l’at­ten­ti­on de vot­re employ­eur par écrit sur les aspects men­ti­onnés pré­cé­dem­ment. L’é­crit est important pour que vous ayez une preuve. Fixez un délai à vot­re patron, mais con­tinuez à vous mon­trer poli et coopé­ra­tif. Après tout, vous sou­hai­tez géné­ra­le­ment con­tin­uer à tra­vail­ler pour vot­re employeur.
  5. Si rien n’y fait : por­tez plain­te !
    Si tout cela ne por­te pas ses fruits, que l’em­ploy­eur ne réa­git pas et que les dis­cus­sions (éven­tu­el­le­ment avec le comi­té d’entre­pri­se) n’ont pas abou­ti, il res­te en fin de comp­te la plain­te devant le tri­bu­nal du travail.

L’a­vo­cat Jörg Zitz­mann a joli­ment pré­sen­té les faits dans le Chaî­ne You­Tube de l’A­ca­dé­mie de la sécu­ri­té:

App­rend­re par cœur les ques­ti­ons et les répon­ses de l’ex­amen : est-ce suf­fi­sant pour réus­sir l’ex­amen 34a ?

Apprendre par cœur les questions et les réponses de l'examen : est-ce suffisant pour réussir l'examen 34a ?

L’ex­amen de com­pé­tence dans le sec­teur de la sur­veil­lan­ce, con­for­mé­ment à l’ar­tic­le 34a du code du com­mer­ce, est une con­di­ti­on importan­te pour l’en­trée dans la pro­fes­si­on dans ce domaine. Il vise à garan­tir que les can­di­dats dis­po­sent des con­nais­sances néces­saires pour assurer la sécu­ri­té des per­son­nes et la pro­tec­tion des biens.
Dans ce con­tex­te, on peut se deman­der s’il est judi­cieux de se con­ten­ter d’app­rend­re par cœur tou­tes les ques­ti­ons et répon­ses pos­si­bles à l’ex­amen, sans se pen­cher plus pro­fon­dé­ment sur le con­tenu de l’examen.

Ques­ti­ons d’ex­amen : thé­o­rie et pratique

Pas de ques­ti­on — l’app­ren­tis­sa­ge avec les ques­ti­ons d’ex­amen 34a off­re de nombreux avan­ta­ges. Dans ce con­tex­te, la simp­le mémo­ri­sa­ti­on de ques­ti­ons et de répon­ses d’ex­amen n’est pas une métho­de de pré­pa­ra­ti­on appro­priée, car l’ex­amen peut éga­le­ment com­porter des ques­ti­ons liées à la situa­ti­on. C’est jus­tem­ent le cas lors de la par­tie ora­le de l’ex­amen. En out­re, il s’a­git de com­prend­re les liens ent­re dif­fér­ents domain­es thé­ma­ti­ques et de pou­voir les appli­quer à des cas pra­ti­ques con­crets. Une pré­pa­ra­ti­on super­fi­ci­el­le peut éven­tu­el­le­ment con­dui­re à ce que cer­ta­ins can­di­dats réus­sis­sent l’ex­amen, mais ne soi­ent pas en mesu­re d’ap­pli­quer leurs con­nais­sances dans la pra­tique. Mais en règ­le géné­ra­le, réus­sir l’ex­amen devi­ent éga­le­ment un défi si l’on ne fait qu’app­rend­re par cœur et que l’on n’a pas acquis une réel­le com­pré­hen­si­on des contenus.

Défis à relever

En out­re, il est important de con­naît­re non seu­le­ment les bases léga­les et les pre­scrip­ti­ons appli­ca­bles, mais aus­si de com­prend­re les aspects psy­cho­lo­gi­ques et com­mu­ni­ca­tifs de la pro­fes­si­on. En effet, les agents de sécu­ri­té pri­vée doi­vent non seu­le­ment recon­naît­re et repous­ser les dan­gers, mais aus­si être en mesu­re d’ap­pli­quer des tech­ni­ques de déses­cala­de et de gérer des situa­tions dif­fi­ci­les. Cela impli­que éga­le­ment de com­mu­ni­quer effi­ca­ce­ment et de résoud­re les con­flits. Mais ici, ce ne sont bien sûr pas seu­le­ment les con­te­nus d’app­ren­tis­sa­ge qui jouent un rôle, mais aus­si et sur­tout l’expé­ri­ence pro­fes­si­on­nel­le et la trans­mis­si­on de valeurs empi­ri­ques, par exemp­le dans le cad­re d’un cours de pré­pa­ra­ti­on ou d’un éch­an­ge avec des col­lè­gues expé­ri­men­tés. L’ac­cent est d’ail­leurs mis sur les thè­mes juri­di­ques de l’ex­amen d’ex­per­ti­se 34a. Des thè­mes com­me le droit pénal ou le droit civil sont pon­dé­ra­ti­on dou­ble à l’ex­amen écrit. Il ne faut pas lais­ser des points à la légè­re en com­pren­ant la matiè­re juri­di­que, sans par­ler des ris­ques d’i­gno­rance juri­di­que lors de l’ac­ti­vi­té ulté­ri­eu­re dans le ser­vice de sécurité.

Com­pré­hen­si­on du con­tenu de l’examen

Les par­ti­ci­pan­ts à l’ex­amen doi­vent s’in­té­res­ser de près au con­tenu de l’ex­amen et ten­ter d’en acquérir une com­pré­hen­si­on plus appro­fon­die. Ils ne dev­rai­ent pas seu­le­ment s’in­té­res­ser aux faits, mais aus­si au con­tex­te et à la signi­fi­ca­ti­on de ce qu’ils ont app­ris. Une façon d’y par­ve­nir est d’é­ch­an­ger avec d’au­t­res per­son­nes qui se pré­pa­rent éga­le­ment à l’ex­amen ou qui tra­vail­lent déjà dans le sec­teur. Les expé­ri­en­ces pra­ti­ques peu­vent éga­le­ment con­tri­buer à appro­fon­dir la com­pré­hen­si­on et à appli­quer les con­nais­sances acqui­ses. Sont géné­ra­le­ment recom­man­dés Liv­res, cours en ligne et cours en pré­sentielLes ques­ti­ons et les solu­ti­ons sont pré­sen­tées de maniè­re con­tex­tu­el­le et non exclu­si­ve­ment sous for­me de ques­ti­ons et de solu­ti­ons. Des expli­ca­ti­ons à l’ai­de d’exemp­les de cas peu­vent con­tri­buer de maniè­re signi­fi­ca­ti­ve à la com­pré­hen­si­on, notam­ment des thè­mes juridiques.

Con­clu­si­on

En résu­mé, il n’est pas judi­cieux de se con­ten­ter d’app­rend­re par cœur tou­tes les ques­ti­ons et répon­ses pos­si­bles de l’ex­amen sans s’in­té­res­ser plus pro­fon­dé­ment à son con­tenu. Au lieu de cela, les can­di­dats dev­rai­ent s’in­té­res­ser de près au con­tenu de l’ex­amen et ten­ter d’en acquérir une com­pré­hen­si­on plus appro­fon­die. Cela peut les aider non seu­le­ment à réus­sir l’ex­amen, mais aus­si à être en mesu­re d’ap­pli­quer leurs con­nais­sances dans la pra­tique et de tra­vail­ler avec suc­cès dans le sec­teur de la sécu­ri­té privée.

Voi­ci les avan­ta­ges de l’app­ren­tis­sa­ge avec les ques­ti­ons d’ex­amen pour l’ex­amen 34a

Voici les avantages de l'apprentissage avec les questions d'examen pour l'examen 34a

App­rend­re avec des ques­ti­ons d’ex­amen est une métho­de éprou­vée, uti­li­sée par de nombreux élè­ves pour amé­lio­rer leur com­pré­hen­si­on et leur con­nais­sance de cer­ta­ins sujets. 

Pour­quoi la pré­pa­ra­ti­on au 34a avec des ques­ti­ons d’ex­amen est-elle utile ?

En répond­ant aux ques­ti­ons d’ex­amen, on obti­ent un feed-back sur le degré de com­pré­hen­si­on de la matiè­re et on peut tra­vail­ler de maniè­re ciblée sur les points dif­fi­ci­les afin d’a­mé­lio­rer ses con­nais­sances. On peut iden­ti­fier les lacu­nes dans sa com­pré­hen­si­on et les com­bler de maniè­re ciblée. Un feed-back régu­lier per­met de s’assurer que l’on s’a­mé­lio­re con­tinuel­le­ment et de sui­v­re ses pro­grès.
Un aut­re avan­ta­ge de l’app­ren­tis­sa­ge avec des ques­ti­ons d’ex­amen est qu’il per­met d’ap­pro­fon­dir les con­te­nus d’app­ren­tis­sa­ge. En répond­ant aux ques­ti­ons d’ex­amen, il faut s’in­té­res­ser de plus près au con­tenu et éta­b­lir des liens ent­re dif­fér­ents sujets. En appro­fon­dis­sant les infor­ma­ti­ons, on peut acquérir une com­pré­hen­si­on plus pro­fon­de du sujet. En répé­tant et en appli­quant les infor­ma­ti­ons, on amé­lio­re sa capa­ci­té de mémo­ri­sa­ti­on. Lors­que l’on s’in­té­res­se de près à un sujet et que l’on met acti­ve­ment en pra­tique ce que l’on a app­ris, la mémoi­re s’en trouve amé­lio­rée.
Les ques­ti­ons d’ex­amen atti­rent éga­le­ment l’at­ten­ti­on sur les aspects les plus importants du maté­ri­el d’app­ren­tis­sa­ge et per­met­tent d’ex­clure les infor­ma­ti­ons non per­ti­nen­tes. En se con­cen­trant sur les infor­ma­ti­ons per­ti­nen­tes, le cer­ve­au peut mieux les assi­mi­ler et les trai­ter. Il en résul­te une meil­leu­re com­pré­hen­si­on du maté­ri­el d’app­ren­tis­sa­ge.
L’un des prin­ci­paux avan­ta­ges de l’app­ren­tis­sa­ge avec des ques­ti­ons d’ex­amen est la simu­la­ti­on d’u­ne situa­ti­on d’ex­amen. Cela peut éga­le­ment con­tri­buer à rédui­re la peur des examens. La peur des examens peut être un obs­ta­cle con­sidé­ra­ble à la réus­si­te de l’app­ren­tis­sa­ge, car elle peut con­dui­re à obte­nir des résul­tats infé­ri­eurs à ceux que l’on pour­rait obte­nir. En s’en­traînant aux ques­ti­ons d’ex­amen, on peut mieux s’ad­ap­ter au type de ques­ti­ons et au dérou­le­ment de l’ex­amen. Cela peut con­tri­buer à rédui­re la peur de l’ex­amen et à ren­forcer la con­fi­ance en soi.

Aut­res avan­ta­ges de l’app­ren­tis­sa­ge avec des ques­ti­ons d’examen

Con­clu­si­on

Dans l’en­sem­ble, l’app­ren­tis­sa­ge avec des ques­ti­ons d’ex­amen pré­sen­te de nombreux avan­ta­ges. Il per­met d’a­mé­lio­rer la com­pré­hen­si­on des con­te­nus d’app­ren­tis­sa­ge, de ren­forcer la capa­ci­té de mémo­ri­sa­ti­on et de rédui­re la peur des examens. Grâce à un feed­back régu­lier et à une pra­tique ciblée, il est pos­si­ble de tra­vail­ler de maniè­re ciblée sur les points dif­fi­ci­les et de sui­v­re ses pro­grès. L’app­ren­tis­sa­ge avec des ques­ti­ons d’ex­amen est une métho­de effi­cace pour se prépa­rer aux examens et réus­sir. La pré­pa­ra­ti­on aux com­pé­ten­ces avec des ques­ti­ons d’ex­amen est donc un fac­teur important pour réus­sir l’ex­amen de la CCI. Pour­quoi l’app­ren­tis­sa­ge par cœur seul ne suf­fit pas néces­saire­ment pour réus­sir l’ex­amen 34a, dans cet artic­le de blog.

Con­seil : ques­ti­ons d’ex­amen sur YouTube

Con­seils de can­di­da­tu­re pour les agents de sécu­ri­té pri­vée : com­ment réus­sir vot­re candidature !

Conseils de candidature pour les agents de sécurité privée : comment réussir votre candidature !

Les agents de sécu­ri­té jouent un rôle important dans le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée et sont sou­vent le pre­mier interlo­cu­teur des cli­ents et des visi­teurs. Si vous êtes un agent de sécu­ri­té à la recher­che d’un nou­vel emploi, une can­di­da­tu­re réus­sie peut fai­re la dif­fé­rence ent­re le suc­cès et l’é­chec. En rai­son de la situa­ti­on sur le mar­ché du tra­vail, les chan­ces sont plu­tôt bon­nes. On par­le éga­le­ment d’un mar­ché des tra­vail­leurs — c’est-à-dire qu’il n’y a guè­re de can­di­dats qua­li­fiés pour les pos­tes actu­el­le­ment vacants. En fon­c­tion de cer­ta­ins fac­teurs tels que vot­re for­ma­ti­on et le lieu de tra­vail sou­hai­té, vous avez en prin­ci­pe une bon­ne pos­si­bi­li­té de choix !

Dans cet artic­le, nous vous don­nons des con­seils et des astuces pour réus­sir vot­re can­di­da­tu­re et trou­ver le job de vos rêves dans le sec­teur de la sécu­ri­té privée.

10 con­seils de can­di­da­tu­re pour les agents de sécu­ri­té dans le sec­teur de la sécu­ri­té privée

  1. Créez une lett­re de moti­va­ti­on pertinente

La lett­re de moti­va­ti­on est la pre­miè­re impres­si­on que vous lais­sez à un employ­eur potentiel. Il est important que vous pre­niez le temps de rédi­ger une lett­re de moti­va­ti­on per­cu­tan­te qui met­te en valeur vot­re expé­ri­ence, vos com­pé­ten­ces et vot­re moti­va­ti­on. Assu­rez-vous de per­son­na­li­ser la lett­re de moti­va­ti­on en fon­c­tion de l’entre­pri­se et du pos­te de sécu­ri­té pro­po­sé, et de vous rens­eig­ner sur l’entre­pri­se et ses activités.

  1. Mett­re à jour son CV

Vot­re CV est vot­re docu­ment de can­di­da­tu­re le plus important et doit pré­sen­ter vot­re expé­ri­ence pro­fes­si­on­nel­le, vos com­pé­ten­ces et vos qua­li­fi­ca­ti­ons. Met­tez à jour vot­re CV avant de pos­tu­ler et assu­rez-vous qu’il est clair et faci­le à lire. Uti­li­sez des points clés et une mise en for­me clai­re pour mett­re en évi­dence les infor­ma­ti­ons importan­tes. Indi­quez éga­le­ment les for­ma­ti­ons et cer­ti­fi­ca­ti­ons que vous avez sui­vies et les expé­ri­en­ces que vous avez eues dans le sec­teur de la sécu­ri­té. Pré­sen­tez vos cer­ti­fi­cats de com­pé­tence, vos cer­ti­fi­cats de tra­vail et vos éven­tuels cer­ti­fi­cats de for­ma­ti­on. N’in­cluez pas Faux docu­ments et vous con­vain­crez par vot­re com­pé­tence pro­fes­si­on­nel­le expres­si­on cor­rec­te.

  1. Met­tez en avant vos com­pé­ten­ces et vot­re expérience

En tant qu’agent de sécu­ri­té, vous devez être en mesu­re d’i­den­ti­fier rapi­de­ment les situa­tions dan­ge­reu­ses et d’y réa­gir de maniè­re appro­priée. Dans vot­re can­di­da­tu­re, met­tez l’ac­cent sur vos capa­ci­tés et vot­re expé­ri­ence dans le domaine de la sécu­ri­té et assu­rez-vous de mett­re en avant vos com­pé­ten­ces en matiè­re de com­mu­ni­ca­ti­on, de réso­lu­ti­on de con­flits et de déses­cala­de. Mais n’e­xa­gé­rez pas, par exemp­le en racon­tant de maniè­re excen­tri­que vos exploits en tant qu’agent de sécurité.

  1. Soyez prêt pour l’en­tre­ti­en d’embauche

Un ent­re­ti­en d’em­bau­che est l’oc­ca­si­on de vous pré­sen­ter sous vot­re meil­leur jour et de con­vain­cre l’em­ploy­eur de vos com­pé­ten­ces. Pré­pa­rez-vous à l’en­tre­ti­en en vous rens­eig­nant sur l’entre­pri­se, en pré­parant des ques­ti­ons et en réflé­chis­sant aux répon­ses que vous don­ne­riez. Assu­rez-vous d’ar­ri­ver à l’heu­re à l’en­tre­ti­en, d’êt­re bien pré­pa­ré et de pré­sen­ter clai­re­ment vos qua­li­fi­ca­ti­ons et vot­re expérience.

  1. Res­tez posi­tif et confiant

En tant qu’agent de sécu­ri­té, il est important que vous vous pré­sen­tiez de maniè­re posi­ti­ve et con­fi­an­te. Soyez con­vain­cu de vos com­pé­ten­ces et de vot­re expé­ri­ence et fai­tes savoir à vot­re employ­eur potentiel que vous êtes le meil­leur choix pour le pos­te. Res­tez pro­fes­si­on­nel et cour­tois tout au long du pro­ces­sus de can­di­da­tu­re et assu­rez-vous de lais­ser une impres­si­on posi­ti­ve. Ne vous moquez pas de vot­re anci­en employ­eur à ce sta­de. Cela ne fait pas bon­ne impres­si­on et les diri­geants du sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée sont sou­vent plus con­nec­tés que vous ne le pensez !

  1. Uti­li­sez vot­re réseau

Uti­li­sez vot­re réseau pro­fes­si­on­nel pour trou­ver des employ­eurs potentiels et vous infor­mer sur les pos­tes vacants. Par­lez à d’an­ci­ens col­lè­gues, supé­ri­eurs hié­rar­chi­ques et aut­res cont­acts dans le sec­teur de la sécu­ri­té et deman­dez des recom­man­da­ti­ons ou des infor­ma­ti­ons sur les pos­tes vacants. Les pla­te­for­mes en ligne tel­les que Lin­ke­dIn ou XING peu­vent éga­le­ment vous aider à trou­ver des employ­eurs potentiels et à éta­b­lir des cont­acts. Vous pou­vez éga­le­ment y indi­quer que vous êtes ouvert aux off­res. Par­fois, des chas­seurs de têtes se mani­fes­tent éga­le­ment et peu­vent être uti­les pour trou­ver des emplois.

  1. Soyez fle­xi­ble et ouvert à de nou­veaux défis

Dans le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée, il exis­te une gran­de varié­té de tâches et de pos­tes qui requiè­rent des com­pé­ten­ces et une expé­ri­ence dif­fé­ren­tes. Soyez fle­xi­ble et ouvert à de nou­veaux défis et véri­fiez si vous êtes apte à occup­er d’au­t­res pos­tes ou tâches. Vous serez peut-être plus à même de mett­re à pro­fit vos com­pé­ten­ces et vot­re expé­ri­ence dans un aut­re pos­te ou vous serez peut-être inté­res­sé par un nou­veau défi.

  1. Pré­sen­tez-vous de maniè­re professionnelle

En tant qu’agent de sécu­ri­té, vous êtes l’i­mage de l’entre­pri­se et vous devez donc vous pré­sen­ter de maniè­re pro­fes­si­on­nel­le. Assu­rez-vous de por­ter des vête­ments appro­priés et de don­ner une impres­si­on soi­g­née lors des ent­re­ti­ens d’em­bau­che ou d’au­t­res occa­si­ons pro­fes­si­on­nel­les. Fai­tes éga­le­ment atten­ti­on à vot­re lan­ga­ge cor­po­rel et à vot­re appa­rence et assu­rez-vous de com­mu­ni­quer de maniè­re polie et professionnelle.

  1. Ne recu­lez pas devant les exi­gen­ces élevées

20 ans maxi­mum et 10 ans d’expé­ri­ence pro­fes­si­on­nel­le, ce n’est évi­dem­ment pas pos­si­ble. Sou­vent, les employ­eurs men­ti­on­nent un grand nombre d’e­xi­gen­ces dans les off­res d’em­ploi. N’hé­si­tez pas à le fai­re, mais soyez hon­nête si vous ne répon­dez pas (enco­re) à une exi­gence. Il est pos­si­ble d’ac­quérir de l’expé­ri­ence dans le nou­veau pos­te, d’ap­pro­fon­dir les con­nais­sances lin­gu­is­ti­ques man­quan­tes en sui­vant des cours à côté (par exemp­le à la VHS) et de rat­tra­per les for­ma­ti­ons com­plé­men­tai­res man­quan­tes. Les employ­eurs sont sou­vent plus fle­xi­bles qu’on ne le pen­se, sur­tout si le res­te con­vi­ent (humain­e­ment) !

  1. Gar­dez le cap et n’ayez pas peur des échecs !

Il est plu­tôt excep­ti­on­nel de décro­cher le job de ses rêves dès la pre­miè­re can­di­da­tu­re. N’ayez pas peur si vous ne réus­sis­sez pas lors de vot­re pre­miè­re can­di­da­tu­re, mais rées­sayez ail­leurs. Il est sou­vent uti­le de deman­der un feed-back ouvert sur les rai­sons pour les­quel­les on n’a pas été retenu ou de sui­v­re une for­ma­ti­on pro­fes­si­on­nel­le à la can­di­da­tu­re, au cours de laquel­le les docu­ments de can­di­da­tu­re sont éga­le­ment exami­nés et opti­mi­sés. Res­tez à l’écou­te, abon­nez-vous aux off­res d’em­ploi sur les por­tails d’em­ploi. Vous serez alors auto­ma­ti­quement infor­mé des nou­veaux pos­tes qui se pré­sen­tent dans vot­re ray­on de recherche.

Con­clu­si­on

Une can­di­da­tu­re réus­sie dans le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée deman­de du temps, des efforts et de l’en­ga­ge­ment. Uti­li­sez les con­seils ci-des­sus pour opti­mi­ser vot­re can­di­da­tu­re et trou­ver l’em­ploi de vos rêves. Res­tez à l’écou­te et con­tinuez à vous for­mer. Com­pa­rez les off­res d’em­ploi et essayez de vous vend­re au mieux. Soyez sûr de vous, fle­xi­ble et pro­fes­si­on­nel et mont­rez à vot­re employ­eur potentiel que vous êtes le choix par­fait pour le poste.

L’a­ve­nir du sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée en Alle­ma­gne : l’hom­me ou la machine ?

L'avenir du secteur de la sécurité privée en Allemagne : l'homme ou la machine ?

Le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée est un sec­teur éco­no­mi­que important en Alle­ma­gne et emploie de nombreu­ses per­son­nes. Au total, en 2022, le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée en Alle­ma­gne comp­tait près de 260.000 col­la­bo­ra­teurs, employés dans quel­que 5.700 ent­re­pri­ses de gar­di­en­na­ge et de sécu­ri­té. Ce sont des chif­fres con­sidé­ra­bles. Dans cer­ta­ins domain­es, la sécu­ri­té pri­vée assu­me de plus en plus de tâches aut­re­fois pure­ment sou­ve­rai­nes et est ain­si deve­nue un acteur important — en par­tie aus­si dans le domaine de la sécu­ri­té et de l’ord­re publics.

Mais com­ment le pri­vé va-t-il évo­luer à l’a­ve­nir ? Les agents de sécu­ri­té humains seront-ils de plus en plus rem­pla­cés par des machi­nes ? Ou l’hom­me con­tin­uera-t-il à jouer un rôle important dans le sec­teur de la sécu­ri­té ? Dans cet artic­le, nous nous pen­chons sur l’a­ve­nir du sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée en Allemagne.

Le rôle de l’hom­me dans le sec­teur de la sécu­ri­té privée

Les agents de sécu­ri­té humains ont de nombreux avan­ta­ges par rap­port aux machi­nes. Ils sont en mesu­re d’at­tri­buer des modes d’ac­tion humains de maniè­re plus ciblée et de réa­gir de maniè­re adé­qua­te. Ils peu­vent mieux éva­luer les situa­tions dan­ge­reu­ses et agir de maniè­re appro­priée. Ils ont la capa­ci­té de réa­gir à des évé­ne­ments impré­vus et d’a­gir avec fle­xi­bi­li­té. Les agents de sécu­ri­té humains sont irrem­pla­ça­bles, en par­ti­cu­lier dans les situa­tions où l’em­pa­thie, la com­pré­hen­si­on et la com­mu­ni­ca­ti­on inter­per­son­nel­le sont essentielles.

En out­re, cer­tai­nes acti­vi­tés dans le sec­teur de la sécu­ri­té sont dif­fi­ci­le­ment auto­ma­tis­ables. Par exemp­le, la sur­veil­lan­ce des per­son­nes et le con­trô­le des docu­ments d’i­den­ti­té requiè­rent un niveau éle­vé de con­nais­sances, d’expé­ri­ence et d’em­pa­thie. Ces acti­vi­tés requiè­rent éga­le­ment des com­pé­ten­ces cogni­ti­ves tel­les que la pen­sée cri­tique, la réso­lu­ti­on de pro­blè­mes et la pri­se de décis­i­on, qui ne peu­vent actu­el­le­ment pas être entiè­re­ment pri­ses en char­ge par des machines.

Le rôle des machi­nes dans le sec­teur de la sécu­ri­té privée

Tou­te­fois, cer­tai­nes acti­vi­tés dans le sec­teur de la sécu­ri­té peu­vent être assis­tées par des machi­nes. Par exemp­le, des camé­ras et d’au­t­res appareils tech­ni­ques peu­vent être uti­li­sés pour sur­veil­ler des bâti­ments et des lieux publics. Les images peu­vent être ana­ly­sées par les agents de sécu­ri­té humains afin d’i­den­ti­fier les situa­tions dan­ge­reu­ses et d’y réa­gir. Tou­te­fois, les sys­tè­mes qui ana­ly­sent direc­te­ment les images enre­gis­trées par ordi­na­teur et don­nent l’a­ler­te le cas éché­ant sont plus rapi­des et plus fia­bles en masse.
Les pre­miè­res auto­ma­tis­a­ti­ons ont vu le jour il y a de nombreu­ses années déjà, par exemp­le dans le domaine du con­trô­le d’ac­cès. Les robots de sur­veil­lan­ce équi­pés de détec­teurs et qui patrouil­lent par exemp­le les ent­repôts de maniè­re entiè­re­ment auto­ma­tique sont éga­le­ment uti­li­sés depuis un cer­tain temps. La tech­no­lo­gie des dro­nes est éga­le­ment de plus en plus uti­li­sée dans le sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée, par exemp­le pour le sui­vi et la véri­fi­ca­ti­on des alar­mes. Dans ce domaine, les obs­ta­cles juri­di­ques sont tou­te­fois enco­re très éle­vés et s’op­po­sent sou­vent à une uti­li­sa­ti­on pratique.

En out­re, des tech­no­lo­gies tel­les que l’IA et l’app­ren­tis­sa­ge auto­ma­tique peu­vent être uti­li­sées pour iden­ti­fier des modè­les et des anoma­lies dans de gran­des quan­ti­tés de don­nées. Les forces de sécu­ri­té peu­vent ain­si être aler­tées à temps des dan­gers potentiels et réa­gir en conséquence.

L’a­ve­nir de la sécu­ri­té privée

Il est peu pro­ba­ble que les machi­nes rem­pla­cent com­plè­te­ment les agents de sécu­ri­té humains. L’hom­me con­tin­uera à jouer un rôle important dans le sec­teur de la sécu­ri­té. Tou­te­fois, les machi­nes joue­ront un rôle de plus en plus important et assis­te­ront les agents de sécu­ri­té humains dans cer­tai­nes acti­vi­tés. Les ent­re­pri­ses de sécu­ri­té pri­vée doi­vent s’ad­ap­ter à ces chan­ge­ments et for­mer leur per­son­nel en con­sé­quence afin de pou­voir répond­re aux exi­gen­ces de l’avenir.

Con­clu­si­on

L’a­ve­nir du sec­teur de la sécu­ri­té pri­vée en Alle­ma­gne sera façon­né par une com­bi­nai­son du tra­vail humain et des capa­ci­tés des machi­nes. L’hom­me ne sera pas rem­pla­cé, mais il évo­luera et pren­dra en char­ge d’au­t­res acti­vi­tés. On assis­te donc à un dépla­ce­ment des tâches. Alors que les tâches de per­cep­ti­on peu­vent être en gran­de par­tie pri­ses en char­ge par des machi­nes, les agents de sécu­ri­té pri­vée assum­e­ront de plus en plus d’au­t­res tâches plus exigeantes.

Pré­pa­ra­ti­on du 34a : quel­le est la meil­leu­re for­me d’ens­eig­ne­ment pour vous ?

Préparation du 34a : quelle est la meilleure forme d'enseignement pour vous ?

Quel­le est la for­me d’ens­eig­ne­ment qui vous con­vi­ent le mieux ?

Dans l’ar­tic­le sui­vant, je sou­hai­te vous pré­sen­ter les dif­fé­ren­tes pos­si­bi­li­tés d’app­ren­tis­sa­ge, avec leurs avan­ta­ges et leurs incon­vé­ni­ents, pour la pré­pa­ra­ti­on à l’ex­amen de com­pé­tence § 34a GewO — une con­tri­bu­ti­on d’in­vi­té de Le gou­rou de la sécu­ri­té.

Ens­eig­ne­ment frontal

Les cours ont lieu dans une aca­dé­mie, géné­ra­le­ment tou­te la jour­née.
Dans un envi­ron­ne­ment struc­tu­ré, l’ens­eig­ne­ment crée une situa­ti­on d’app­ren­tis­sa­ge pour les élè­ves dans laquel­le un ens­eig­nant joue le rôle de trans­met­teur de con­nais­sances. L’ens­eig­nant peut uti­li­ser dif­fé­ren­tes métho­des d’app­ren­tis­sa­ge pour faci­li­ter l’app­ren­tis­sa­ge des élè­ves. Il peut s’a­gir par exemp­le d’ex­po­sés, de dis­cus­sions, de travaux de grou­pe, de démons­tra­ti­ons ou d’expé­ri­en­ces. En clas­se, les élè­ves peu­vent éga­le­ment poser des ques­ti­ons direc­tes et rece­voir un feed-back de l’ens­eig­nant ou de leurs cama­ra­des de clas­se, ce qui amé­lio­re la com­pré­hen­si­on du maté­ri­el d’app­ren­tis­sa­ge. L’ens­eig­ne­ment peut éga­le­ment être l’oc­ca­si­on d’en­cou­ra­ger les com­pé­ten­ces socia­les et la col­la­bo­ra­ti­on en faisant tra­vail­ler et app­rend­re les élè­ves ensemble.

Ens­eig­ne­ment en ligne

L’ens­eig­ne­ment en ligne est simi­lai­re à l’ens­eig­ne­ment tra­di­ti­onnel, mais il se déroule sur Inter­net. L’ens­eig­nant uti­li­se alors dif­fér­ents outils numé­ri­ques pour faci­li­ter l’app­ren­tis­sa­ge des élè­ves. Des exemp­les d’ou­tils numé­ri­ques peu­vent être : le chat vidéo et audio, les cours en ligne, les pla­tes-for­mes d’app­ren­tis­sa­ge, les sal­les de clas­se vir­tu­el­les ou les modu­les d’app­ren­tis­sa­ge en ligne. L’ens­eig­ne­ment en ligne peut être par­ti­cu­liè­re­ment avan­ta­ge­ux à l’heu­re actu­el­le, car il per­met de pour­suiv­re l’ens­eig­ne­ment même en péri­ode de pan­dé­mie ou dans d’au­t­res cir­con­s­tances qui affec­tent l’ens­eig­ne­ment nor­mal. Un aut­re avan­ta­ge de l’ens­eig­ne­ment en ligne est que les élè­ves peu­vent app­rend­re de n’im­por­te où, pour autant qu’ils dis­po­sent d’u­ne con­ne­xi­on Inter­net. Et com­me dans le cas de l’ens­eig­ne­ment fron­tal, les élè­ves peu­vent poser des ques­ti­ons et rece­voir des com­men­tai­res du pro­fes­seur ou de leurs cama­ra­des de clas­se, ce qui peut amé­lio­rer la com­pré­hen­si­on du maté­ri­el d’apprentissage.

Auto-app­ren­tis­sa­ge avec liv­re et vidé­os YouTube

Auto-app­ren­tis­sa­ge avec liv­re et Vidé­os You­Tube sont des per­son­nes qui app­ren­nent de maniè­re auto­no­me en se pro­cu­rant des infor­ma­ti­ons dans des liv­res ou des vidé­os sur Inter­net. Cet­te for­me d’app­ren­tis­sa­ge est moins struc­tu­rée et exi­ge davan­ta­ge de disci­pli­ne et d’initia­ti­ve de la part des app­ren­ants. Con­trai­re­ment aux cours ou à l’ens­eig­ne­ment en ligne, les app­ren­ants auto­no­mes ont la liber­té de déter­mi­ner leur pro­pre ryth­me et de choi­sir le con­tenu du maté­ri­el d’app­ren­tis­sa­ge. Cepen­dant, il y a aus­si le ris­que que les app­ren­ants auto­no­mes aient des dif­fi­cul­tés à att­eind­re leurs objec­tifs d’app­ren­tis­sa­ge en rai­son d’un man­que de struc­tu­re et d’in­s­truc­tions. Les app­ren­ants doi­vent se moti­ver et se disci­pli­ner eux-mêmes pour app­rend­re de maniè­re con­ti­nue. Il est éga­le­ment plus dif­fi­ci­le de poser des ques­ti­ons et d’ob­te­nir un retour d’in­for­ma­ti­on, car il n’y a pas de cont­act direct avec un ens­eig­nant ou d’au­t­res apprenants.

Avan­ta­ges et inconvénients

Dans l’en­sem­ble, les trois for­mes d’app­ren­tis­sa­ge — ens­eig­ne­ment fron­tal (cours en clas­se), ens­eig­ne­ment en ligne et auto-app­ren­tis­sa­ge avec des liv­res et des vidé­os You­Tube — pré­sen­tent des avan­ta­ges et des inconvénients :

Ens­eig­ne­ment frontal

Avan­ta­ges :

Incon­vé­ni­ents :

Ens­eig­ne­ment en ligne

Avan­ta­ges :

Incon­vé­ni­ents :

Auto-app­ren­tis­sa­ge avec des liv­res et des vidé­os YouTube

Avan­ta­ges :

Incon­vé­ni­ents :

Résu­mé

Dans l’en­sem­ble, il est important de noter qu’au­cu­ne des for­mes d’app­ren­tis­sa­ge n’est par­fai­te et que tout dépend du style d’app­ren­tis­sa­ge qui cor­re­spond le mieux aux beso­ins et aux pré­fé­ren­ces indi­vi­du­els de l’app­ren­ant.
En out­re, les dif­fér­ents styl­es d’app­ren­tis­sa­ge peu­vent bien enten­du être com­bi­nés ent­re eux. La pos­si­bi­li­té d’uti­li­ser les vidé­os You­Tube com­me com­plé­ment à tout type d’app­ren­tis­sa­ge est très bon­ne. Et c’est là que je recom­man­de les vidé­os You­Tube du Gou­rou de la sécurité34a. Ces vidé­os sont clai­re­ment struc­tu­rées, infor­ma­ti­ves, faci­les à com­prend­re et donc très uti­les. Grâce à ces vidé­os, on peut app­rend­re à son pro­pre ryth­me et appro­fon­dir les con­te­nus qui n’ont pas été bien trans­mis en clas­se.
Il y a cours com­plets ain­si que Examens types avec des expli­ca­ti­ons sur les ques­ti­ons et les réponses.

J’e­spè­re qu’a­vec cet artic­le, j’ai pu vous fami­lia­ri­ser avec les dif­fé­ren­tes métho­des d’app­ren­tis­sa­ge et que vous trou­verez cel­le qui vous convient.

Code de cou­pon : 10% Réduc­tion sur la pré­pa­ra­ti­on aux com­pé­ten­ces avec Sachkun.de

Code de coupon : 10% Réduction sur la préparation aux compétences avec Sachkun.de

La pla­te-for­me d’app­ren­tis­sa­ge Sachkun.de est l’u­ne des off­res en ligne les plus con­nues pour la pré­pa­ra­ti­on au 34a. Depuis 2005, la pla­te-for­me d’app­ren­tis­sa­ge en ligne, les ques­ti­ons de test, les examens blancs et l’ai­de en ligne ont per­mis à plus de 10.000 per­son­nes de se prépa­rer en ligne à l’ex­amen 34a.

Nou­veau : Sachkun.de 2.0

Depuis peu, l’app­ren­tis­sa­ge en ligne sur www.sachkun.de a été entiè­re­ment rema­nié. Plus de 1000 ques­ti­ons de test pro­ches de l’ex­amen, des tex­tes d’app­ren­tis­sa­ge ciblés, des vidé­os d’ens­eig­ne­ment et même des sémi­n­aires en ligne heb­domad­ai­res en direct atten­dent désor­mais les app­ren­ants. La pré­pa­ra­ti­on au 34a exis­te en trois vari­an­tes dif­fé­ren­tes : Clas­sic, Pro et VIP. Ceux qui s’in­scri­vent à VIP ont en out­re accès à un grou­pe Whats­App dans lequel ils peu­vent poser des ques­ti­ons et éch­an­ger avec d’au­t­res app­ren­ants en cul­tu­re géné­ra­le. Ce qui est nou­veau, c’est que la pré­pa­ra­ti­on se fait désor­mais entiè­re­ment via une appli­ca­ti­on mobi­le con­for­ta­ble, dans laquel­le on peut app­rend­re 24 heu­res sur 24, c’est-à-dire 24/7, avec des ques­ti­ons 34a — pen­dant 30, 60 ou même 100 jours, selon le tarif. 

Code de bon d’achat pour www.sachkun.de

Avec le code pro­mo­ti­on­nel SK10YT on obti­ent actu­el­le­ment 10% Réduc­tion sur tous les tarifs.
Cli­quez ici pour accé­der direc­te­ment au Off­re sur www.sachkun.de.

À pro­pos de la pré­pa­ra­ti­on aux com­pé­ten­ces avec Sachkun.de

Sachkun.de n’est cer­tai­ne­ment pas le four­nis­seur le moins cher du mar­ché, mais il a fait ses preu­ves depuis des années. Les cri­ti­ques posi­ti­ves sur la toi­le témoig­n­ent de la qua­li­té de la pla­te-for­me. Les qua­li­fi­ca­ti­ons des explo­itants de la pla­te-for­me d’app­ren­tis­sa­ge 34a autour de Jörg Zitz­mann y veil­lent éga­le­ment. Il con­vi­ent en out­re de noter que les ques­ti­ons pro­ches de l’ex­amen et les tex­tes d’app­ren­tis­sa­ge con­den­sés per­met­tent de se prépa­rer à l’ex­amen de la CCI de maniè­re très effi­cace et donc de gagner du temps. Si des ques­ti­ons de com­pré­hen­si­on restent sans répon­se, un ens­eig­nant se tient à dis­po­si­ti­on — selon le tarif — lors de la ses­si­on vidéo heb­domad­ai­re ou, en plus, dans le grou­pe d’app­ren­tis­sa­ge Whats­App 34a. Cela per­met de s’assurer que les ques­ti­ons des par­ti­ci­pan­ts sont tou­jours trai­tées et que tous les con­te­nus sont com­pris, com­me dans un cours en clas­se. Le rap­port qualité/prix est très rai­sonnable, avec des prix con­ver­tis en gros ent­re 1,80 et 3,00 euros par jour (au 5 mars 2023). La garan­tie de rem­bour­se­ment, qui s’ap­pli­que si l’on échoue plu­s­ieurs fois à l’ex­amen 34a mal­gré la pré­pa­ra­ti­on, con­tri­bue éga­le­ment à la sécurité.

Wir wer­den hier im Blog nach und nach wei­te­re Anbie­ter vor­stel­len. Wir freu­en uns über Ihre Mei­nun­gen und Erfah­run­gen zur 34a-Prü­fungs­vor­be­rei­tung! Hin­ter­las­sen Sie ger­ne einen Kommentar 🙂

Examen des com­pé­ten­ces — pour­quoi ? Ache­ter sim­ple­ment le per­mis 34a…

Examen des compétences - pourquoi ? Acheter simplement le permis 34a...

On n’a pas envie de pas­ser l’ex­amen et de le prépa­rer, on a déjà échoué plu­s­ieurs fois à l’ex­amen de com­pé­tence de la CCI ou on veut sim­ple­ment éco­no­mi­ser du temps et de l’ar­gent — tou­tes ces rai­sons peu­vent expli­quer pour­quoi on cher­che tou­jours à “ache­ter le per­mis 34a”. Vous décou­vr­i­rez dans cet artic­le pour­quoi ce n’est pas une très bon­ne idée.

Peut-on réel­le­ment ache­ter le “bil­let 34a” ?

Une brè­ve Recher­che Goog­le le mont­re : oui, on peut ache­ter un bout de papier qui a l’air d’êt­re un docu­ment offi­ci­el d’u­ne chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie. Mais atten­ti­on ! Si vous uti­li­sez de tel­les faus­ses preu­ves d’ex­amen, vous vous expo­sez à des pour­suites judi­ciai­res.
Ce que vous avez le droit de fai­re, c’est d’ac­cro­cher un tel papier fan­tai­sie dans le cou­loir de vot­re appar­te­ment pour vous amu­ser ou de l’uti­li­ser com­me allu­me-feu pour vot­re pro­chain bar­be­cue. En revan­che, si vous uti­li­sez un tel papier dans le cad­re de rela­ti­ons juri­di­ques, c’est-à-dire dans le cad­re d’u­ne can­di­da­tu­re ou de l’en­re­gis­tre­ment de vot­re ent­re­pri­se de sécu­ri­té, vous com­met­tez une fal­si­fi­ca­ti­on de docu­ments con­for­mé­ment au § 267 du code pénal :

(1) Celui qui, dans le but de trom­per les milieux juri­di­ques, aura fabri­qué un faux docu­ment, fal­si­fié un docu­ment authen­tique ou fait usa­ge d’un docu­ment faux ou fal­si­fié, sera puni d’u­ne pei­ne pri­va­ti­ve de liber­té de cinq ans au plus ou d’u­ne pei­ne pécu­ni­ai­re.
(2) La ten­ta­ti­ve est punissa­ble.
(3) Dans les cas par­ti­cu­liè­re­ment gra­ves, la pei­ne est une pei­ne d’em­pri­son­ne­ment de six mois à dix ans. […]

Les four­nis­seurs de ces ser­vices dou­teux savent que la pro­po­si­ti­on de cer­ti­fi­cats d’ex­amen de la CCI, de diplô­mes de fin d’étu­des et d’au­t­res cer­ti­fi­cats, jus­qu’au tit­re de doc­teur, est juri­di­quement dou­teu­se. Ceux-ci cher­chent avant tout à se fai­re rapi­de­ment de l’ar­gent. Les four­nis­seurs sont géné­ra­le­ment basés à l’étran­ger ou ne sont pas dis­po­nibles et évi­tent ain­si les con­flits juri­di­ques. En effet, les ven­deurs se ren­dent éga­le­ment punissa­bles dans cer­tai­nes cir­con­s­tances par­ce qu’ils uti­li­sent des mar­ques et donc des signes distinc­tifs pro­té­gés juri­di­quement (p. ex. le logo) des orga­ni­sa­ti­ons émettri­ces. De plus, cer­ta­ins ven­deurs don­nent même déli­bé­ré­ment l’im­pres­si­on qu’il s’a­git d’u­ne docu­ment léga­le­ment déli­v­ré et font en même temps de la publi­ci­té en dis­ant que l’on peut uti­li­ser ces faus­ses preu­ves dans les rela­ti­ons juri­di­ques. Les ven­deurs simu­lent donc sou­vent des faits erro­n­és et inci­tent par­fois, du moins indi­rec­te­ment, à uti­li­ser le faux ven­du com­me un docu­ment authen­tique. En tant qu’a­che­teur, vous pou­vez tou­jours être pour­suivi et vous vous expo­sez à des pour­suites si vous uti­li­sez effec­ti­ve­ment un tel docu­ment de fan­tai­sie à des fins professionnelles.

Où peut-on ache­ter l’at­te­sta­ti­on de compétences ?

La seu­le maniè­re léga­le d’ob­te­nir une “atte­sta­ti­on de réus­si­te à un examen de com­pé­tence” (c’est le ter­me exact) est de pas­ser avec suc­cès l’ex­amen de com­pé­tence de la Chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie. Vous trou­verez de nombreux sites gra­tuits Con­seils pour la pré­pa­ra­ti­on à l’ex­amen, Ques­ti­ons de test et un Forum d’ai­de sur ce site Inter­net. D’ail­leurs, pas­ser le vrai examen peut même être moins cher que cer­tai­nes off­res illé­ga­les de faux cer­ti­fi­cats.
L’hon­nête­té est ce qu’il y a de plus dura­ble ! Ne vous lais­sez pas ten­ter par de faus­ses off­res avec des preu­ves fal­si­fiées ! Cela n’en vaut pas la pei­ne, car vous serez démas­qué. Et pour le prix que vous pai­er­ez alors, vous auriez pu vous prépa­rer cor­rec­te­ment à l’ex­amen et le réus­sir de maniè­re tout à fait régulière.

Com­bien coû­te une fausse atte­sta­ti­on de compétences ?

Les prix com­men­cent à un peu moins de 10 euros pour une fausse preuve per­son­na­li­sée à télé­char­ger direc­te­ment en PDF.

Fausse attestation de compétence pour le permis 34a
Fausse atte­sta­ti­on 34a à télé­char­ger en PDF
Ce “four­nis­seur bon mar­ché” de faus­ses preu­ves souli­gne cer­tes qu’il ne faut pas uti­li­ser les docu­ments ache­tés, mais il a tout de même indi­qué un siè­ge social aux États-Unis pour sa pro­pre sécu­ri­té. Il sait pourquoi.

Peut-être la par­tie émer­gée de l’ice­berg est un four­nis­seur qui pro­po­se tou­tes sor­tes de cer­ti­fi­cats et de diplô­mes — dont divers diplô­mes pro­fes­si­on­nels, des cer­ti­fi­cats de fin d’étu­des second­ai­res, des licen­ces et des mas­ters de gran­des éco­les, des diplô­mes uni­ver­si­taires et même des doc­to­rats. Ces papiers impri­més sont dis­po­nibles à un “prix déri­soi­re” de plu­s­ieurs cen­tai­nes d’eu­ros — une affai­re appa­rem­ment ren­ta­ble. Il fait en out­re la pro­mo­ti­on com­mer­cia­le de son off­re par le biais d’u­ne annon­ce publi­ci­taire sur Goog­le, qui appa­raît tout en haut de la page de résul­tats pour les ter­mes de recher­che cor­re­spond­ants — voir illus­tra­ti­on ci-des­sous. Ce com­mer­çant frau­du­leux fait même de la publi­ci­té en dis­ant qu’il s’a­git d’u­ne off­re léga­le et de “100% docu­ments authen­ti­ques et enre­gis­trés, qui peu­vent être véri­fiés par l’université/l’entreprise de for­ma­ti­on, mais aus­si par vot­re employ­eur”. une con­ne­rie totale !

34a-Publicité sur Google (preuve de la fausseté)
Publi­ci­té Goog­le pour une “preuve originale
Main­ten­ant, par­lons fran­che­ment : avec une con­tre­fa­çon ache­tée ou cré­ée et impri­mée par vous-même, vous serez de tou­te façon démas­qué — et c’est là que les cho­ses devi­en­nent vrai­ment dés­ag­ré­a­bles et vrai­ment plus chè­res. Vous décou­vr­i­rez dans la sec­tion sui­van­te pour­quoi il en est iné­vi­ta­blem­ent ain­si.

Pour­quoi il est vrai­ment stu­pi­de de pré­sen­ter un cer­ti­fi­cat 34a falsifié

Il y a quel­ques années enco­re, on aurait con­sidé­réunSi le cer­ti­fi­cat fal­si­fié n’a­vait pas été décou­vert lors de la can­di­da­tu­re, d’un con­trô­le de la doua­ne ou de la poli­ce ou d’u­ne deman­de de rens­eig­ne­ments auprès de la chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie, l’agent de sécu­ri­té aurait pu avoir de la chan­ce. Mais depuis le 1er juin 2019, il exis­te le regist­re cen­tral des gar­di­ens, où tou­tes les don­nées sont ras­sem­blées.. Vot­re employ­eur doit vous y annon­cer avant le début de l’em­ploi et attendre la vali­da­ti­on. Ce n’est qu’a­lors que vous rece­v­rez un numé­ro d’i­den­ti­fi­ca­ti­on d’agent de sécu­ri­té et que vous pour­rez com­men­cer à tra­vail­ler. Dans le cad­re de ce con­trô­le et de la com­pa­rai­son des don­nées, il appa­raît rapi­de­ment que vous avez pré­sen­té un faux docu­ment.. Vous en assu­mez tou­tes les con­sé­quen­ces péna­les et civiles !

Inves­tis­sez plu­tôt dans le vrai Examen de com­pé­tence à la Chambre de com­mer­ce et d’in­dus­trie. Infor­mez-vous gra­tuit ici sur le por­tail d’information. 

Le por­tail d’in­for­ma­ti­on sur l’ex­amen de com­pé­tence 34a est désor­mais dis­po­nible en plu­s­ieurs langues !

Le portail d'information sur l'examen de compétence 34a est désormais disponible en plusieurs langues !

Vous ne par­lez pas alle­mand, mais une aut­re langue ?
En Alle­ma­gne, la main-d’œu­vre qua­li­fiée est actu­el­le­ment recher­chée de tou­te urgence dans de nombreux sec­teurs. L’un de ces sec­teurs est celui de la sécu­ri­té pri­vée. Pour pou­voir tra­vail­ler dans un ser­vice de sécu­ri­té en Alle­ma­gne, vous avez beso­in, pour de nombreu­ses acti­vi­tés de gar­di­en­na­ge, de la Examen de com­pé­tence selon le § 34a du code de l’in­dus­trie et de l’ar­ti­sa­nat (Gewer­be­ord­nung). Vous êtes alors un can­di­dat qua­li­fié, titu­lai­re d’un cer­ti­fi­cat de com­pé­tence 34a et vous avez d’ex­cel­len­tes com­pé­ten­ces. Per­spec­ti­ves d’em­ploi avec rému­né­ra­ti­on cor­re­spond­an­te!

Infor­ma­ti­ons sur l’ex­amen alle­mand 34a-Sach­kunde­prüf­ung (Secu­ri­ty) dans vot­re langue

Vous trou­verez ici, sur le por­tail d’in­for­ma­ti­on sur les com­pé­ten­ces, de nombreu­ses infor­ma­ti­ons gra­tui­tes sur l’ex­amen alle­mand de com­pé­ten­ces pour les agents de sécu­ri­té. Navi­guez via le menu prin­ci­pal tout en haut par­mi nos Pages d’in­for­ma­ti­on, par­cou­rez les der­niers artic­les de blog ou uti­li­sez de maniè­re ciblée les Recher­che. Si vous avez une deman­de indi­vi­du­el­le, vous pou­vez éga­le­ment nous cont­ac­ter à tout moment. Poser vot­re ques­ti­on sur le forum d’ai­de.

Lan­gues dis­po­nibles sur le por­tail d’in­for­ma­ti­on sur la cul­tu­re générale

Nor­ma­le­ment, le sys­tème recon­naît auto­ma­ti­quement la lan­gue que vous uti­li­sez et règ­le le por­tail 34a sur cet­te lan­gue. A cet égard, les lan­gues sui­van­tes sont actu­el­le­ment pri­ses en charge :

Vous pou­vez tou­jours adap­ter la lan­gue du site web via le menu de sélec­tion en haut à gau­che (dra­peau et code de lan­gue). Ou tout sim­ple­ment en cli­quant sur le bou­ton ci-dessous :

Pré­pa­ra­ti­on aux com­pé­ten­ces et examen de com­pé­ten­ces dans une aut­re langue ?

L’ex­amen de com­pé­tence ne peut être pas­sé qu’en alle­mand. Il exis­te cepen­dant quel­ques off­res qui aident les locu­teurs de lan­gues étran­gè­res à se prépa­rer — par exemp­le la lit­té­ra­tu­re, ent­re aut­res Lexi­ques des ter­mes tech­ni­ques 34a et leur tra­duc­tion.

Vot­re lan­gue n’est pas disponible ?
N’hé­si­tez pas à écr­i­re un com­men­tai­re sur cet­te page, en des­sous de ce bil­let de blog. Indi­quez-nous la lan­gue dans laquel­le vous sou­hai­tez que nos infor­ma­ti­ons 34a soi­ent tra­dui­tes. Nous nous ferons un plai­sir de prend­re en comp­te vos sug­ges­ti­ons d’a­mé­lio­ra­ti­on et de les mett­re en œuvre dans la mesu­re du possible.

Com­prend­re les ques­ti­ons d’ex­amen et y répond­re cor­rec­te­ment : 10 con­seils tac­ti­ques simp­les pour réus­sir l’ex­amen écrit de con­nais­sances pro­fes­si­on­nel­les de la CCI (per­mis 34a)

Comprendre les questions d'examen et y répondre correctement : 10 conseils tactiques simples pour réussir l'examen écrit de connaissances professionnelles de la CCI (permis 34a)

Les tests et ques­ti­ons d’ex­amen gra­tuits pour la pré­pa­ra­ti­on à l’ex­amen d’ex­per­ti­se (§ 34a GewO) sont très uti­les pour s’en­traî­ner. Mais les con­seils tac­ti­ques sont pres­que aus­si importants. En effet, même si vous ne con­nais­sez pas immé­dia­te­ment la répon­se à une ques­ti­on du test 34a, vous pou­vez réus­sir l’ex­amen 34a à l’ai­de de quel­ques con­seils et astuces.

Pas d’i­dée, pas de répon­se ? Non, s’il vous plaît !

On ne peut pas tout savoir. Même si l’on s’est bien pré­pa­ré au test 34a avec des ques­ti­ons de test, des examens blancs et d’au­t­res maté­ri­els d’app­ren­tis­sa­ge, il se peut que l’on ne sache tout sim­ple­ment pas com­ment répond­re à cer­tai­nes ques­ti­ons. Si : Même si l’on ne con­naît pas la répon­se à une ques­ti­on d’ex­amen, on peut fran­chir l’ob­s­ta­cle de l’ex­amen de compétence !

10 con­seils simp­les pour réus­sir l’ex­amen d’expertise

Si vous pre­nez en comp­te les indi­ca­ti­ons sui­van­tes pour l’ex­amen écrit de la CCI sur les com­pé­ten­ces § 34a GewO, vous pou­vez mar­quer des points même si vous avez des lacunes :

  1. Il peut un doit être cor­rec­te, ou il peut deux solu­ti­ons être cor­rect. N’in­di­quez donc jamais trois solu­ti­ons ou plus com­me étant correctes !
  2. Simp­le ou plu­ri­el ? Notez si, dans le Ques­ti­on­ne­ment après une ou plu­s­ieurs répon­ses cor­rec­tes est deman­dé ! Exemp­le : pour une ques­ti­on com­men­çant par “Quel­le est la con­di­ti­on pré­alable ?enSi la ques­ti­on com­mence par “un agent de sécu­ri­té doit rem­plir…”, il y a plus d’u­ne bon­ne solution.
  3. Notez le Con­tex­te de la ques­ti­on (domaine thé­ma­tique)! Par exemp­le, si la ques­ti­on por­te sur des faits rele­vant du droit pénal (CP), une répon­se se réfé­rant au droit civil (BGB) ne peut pas être correcte. 
  4. Fai­tes atten­ti­on à For­mu­la­ti­ons néga­ti­vesSi la ques­ti­on com­por­te une néga­ti­on, il se peut que la ques­ti­on soit posée de maniè­re à ce que vous deviez cocher ce qui est exac­te­ment pas s’ap­pli­que-t-elle ? Dans ce cas, vous devez chan­ger d’a­vis et choi­sir exac­te­ment les pos­si­bi­li­tés de répon­se opposées !
  5. Des ter­mes clés com­me “jamais” ou “jamais” ou “tou­jours” ou “tou­jours”. dev­rai­ent être des signes d’a­ver­tis­se­ment ! Il est plu­tôt rare que les inter­dic­tions ou les auto­ri­sa­ti­ons, par exemp­le, soi­ent tou­jours ou jamais val­ables, c’est-à-dire abso­lues. Pour beau­coup de cho­ses, il y a des excep­ti­ons ou cer­tai­nes con­di­ti­ons-cad­res, et non pas une situa­ti­on stric­te­ment noi­re et blan­che. De tels ter­mes clés dans une répon­se indi­quent qu’el­le est plu­tôt fausse. 
  6. D’au­t­res ter­mes qui dev­rai­ent tirer la son­net­te d’alar­me sont ceux com­me “exclu­si­ve­ment” ou “sans excep­ti­on”. La même cho­se que dans l’as­tuce pré­cé­den­te s’ap­pli­que ici. Il est rare que quel­que cho­se soit valable sans aucu­ne exception.
  7. Lors de l’ex­amen écrit de con­nais­sances, vous avez suf­fi­sam­ment de temps. Pre­nez le temps de lire les ques­ti­ons en détail et, si néces­saire, à plu­s­ieurs repri­ses. Si la répon­se ne vous vient pas à l’e­sprit, repor­tez la ques­ti­on. Mar­quez la ques­ti­on de maniè­re à ne pas oublier de la revoir plus tard.
  8. Vous n’êtes pas sûr(e) de la bon­ne répon­se à une ques­ti­on. Tra­vail­lez selon le Prin­ci­pe d’ex­clu­si­on et éli­mi­nez déjà les pos­si­bi­li­tés qui ne peu­vent défi­ni­ti­ve­ment pas être vrai­es. Cela aide souvent.
  9. Si vous n’a­vez aucu­ne idée de la répon­se à une ques­ti­on, ne la lais­sez pas sans répon­se. Devi­nez si néces­saire ! Ne pas répond­re à une ques­ti­on rap­por­te défi­ni­ti­ve­ment 0 point. Même si vous don­nez une ou deux solu­ti­ons à l’in­stinct, la chan­ce peut être de vot­re côté.
  10. Le plus important pour la fin : même si cet artic­le trai­te des “con­seils tac­ti­ques” au sens strict. pré­pa­rez-vous ! App­rend­re à temps et de maniè­re ciblée est le fac­teur essentiel pour réus­sir l’ex­amen de compétence.

Con­seils d’initiés

Vous obti­end­rez de nombreux con­seils sup­p­lé­men­tai­res sur la maniè­re de réus­sir l’ex­amen d’ex­per­ti­se 34a en lisant not­re news­let­ter gra­tuite s’abon­ner à la revue. Nous vous enver­rons ensuite direc­te­ment not­re 34a-PDF avec un total de 25 con­seils pour l’ex­amen d’ex­per­ti­se à .

Con­seils d’ex­per­ti­se et ques­ti­ons d’ex­amen sur YouTube

J’ai­me­rais enco­re recom­man­der ici deux vidé­os uti­les pour la pré­pa­ra­ti­on du per­mis 34a, que vous trou­verez dans le Chaî­ne You­Tube de l’A­ca­dé­mie de la sécu­ri­té trouver :


Men­ti­ons légales
fr_FRFR