11 avril 2021
La légitime défense est la défense nécessaire pour éviter une attaque actuelle illégale contre soi-même ou contre autrui.
La légitime défense est un classique dans le domaine de l’examen de compétence — et bien sûr aussi élémentaire pour la pratique professionnelle !
Nous rencontrons la légitime défense dans trois lois à la fois, à savoir au § 32 Code pénal, en § 227 DU CODE CIVIL ALLEMAND et aussi dans la loi sur les infractions administratives en § 15 OWiG (loi sur les infractions).
Dans l’article d’aujourd’hui, je ne m’intéresse pas directement à la légitime défense en tant que motif justificatif et à ses différents éléments constitutifs. Le texte de loi décrit précisément quand on peut invoquer la légitime défense, c’est-à-dire agresser physiquement quelqu’un sans se rendre punissable. Lorsque l’on se prépare à l’examen d’aptitude 34a dans le cadre de cours ou de livres, le paragraphe relatif à la légitime défense est toujours décrit en détail et avec des exemples clairs.
Un coup de poing, une agression ! Défense, légitime défense ! Tout va bien ?
Dans l’examen d’expertise dans le secteur de la surveillance selon le § 34a de la GewO, au moins une question porte presque toujours sur la légitime défense, par exemple sur les conditions dans lesquelles on peut agir en légitime défense. La légitime défense constitue un motif de justification important pour agir contre des agresseurs sans se rendre soi-même punissable. Comme la légitime défense est un “droit de tout un chacun”, toute personne peut l’invoquer, y compris bien sûr les agents de sécurité, pour autant que les conditions de la légitime défense soient remplies. Ainsi, si le videur est soudainement attaqué illégalement avec son poing, il peut repousser l’agresseur. Il n’est pas punissable, même si l’agresseur est blessé et (espérons-le) perd la partie. Jusque-là, tout est clair. Mais :
Qu’en est-il en cas de vol ou de violation de domicile ?
Même en cas de vol ou de violation de domicile, il s’agit d’une attaque illégale, à savoir contre le bien juridique qu’est la propriété ou le droit de domicile. Dans ces exemples, il est tout à fait possible de se défendre et de repousser l’attaque par la force ! Il faut cependant toujours tenir compte de la proportionnalité et, en principe, du moyen utilisé pour se défendre.
Quels sont les biens juridiques qui peuvent faire l’objet d’une légitime défense ?
De nombreux participants à l’apprentissage partent à tort du principe que l’on ne peut toujours faire usage de la force dans le cadre de la légitime défense qu’en cas d’agression physique contre soi-même (légitime défense) ou contre une autre personne (aide d’urgence). Or, c’est faux ! En principe, tout bien juridique (individuel) peut faire l’objet d’une légitime défense. Donc, outre la vie, l’intégrité corporelle et la santé, également la propriété, l’honneur, le patrimoine (etc.) d’une personne.
28 mars 2021
Je reçois régulièrement des questions sur le contenu de l’examen de compétence.
À partir de maintenant, j’aborderai aussi de temps en temps plus en détail dans le blog les questions fréquemment posées sur les sujets d’examen, en particulier celles qui sont toujours source de confusion pour de nombreux participants.
Ce n’est que récemment que j’ai reçu la demande d’un apprenant qui, à l’aide du Portail d’apprentissage des connaissances se préparait en ligne à l’examen 34a. Il m’a dit qu’il y avait soi-disant une erreur dans les questions du test sur le portail :
“Si quelqu’un vole une chose, c’est qu’il l’a volée à quelqu’un d’autre. La bonne réponse est donnée dans le portail d’apprentissage : le voleur est alors le propriétaire de l’objet. Cela ne peut pas être correct. Comment un voleur peut-il être le propriétaire s’il a pris quelque chose à un autre contre sa volonté ? Cela doit être faux” !
Jetons un bref coup d’œil aux faits sur le plan du droit pénal et du droit civil
Tout d’abord, lorsqu’il s’agit de répondre à l’examen de compétences, il est important de savoir s’il s’agit d’une qualification de droit pénal ou de droit civil — ou des deux. En conséquence, il faut notamment voir quels sont les éléments constitutifs de l’infraction qui relèvent du droit pénal. Code pénal (CP) et/ou le Code civil (BGB) s’appliquent.
Si l’on frappe dans le Code pénal sous § 242 le vol et que l’on observe les faits décrits, on s’aperçoit rapidement qu’ils correspondent à la situation. En effet, une personne prive une autre personne, sans en avoir le droit, d’un bien meuble afin de se l’approprier. Le voleur veut donc garder le bien volé pour lui. Il agit de manière illégale.
Cependant, on ne trouve rien à cet endroit concernant les mots-clés Propriété ou possession — pour cela, il faut regarder dans le BGB
Dans le BGB, en § 854 Acquisition de la possession stipule que le propriétaire est celui qui a pouvoir effectif sur la chose a. Et cela nous ramène directement à la question de départ : le Le voleur est le propriétaire direct de la chose voléeIl exerce en effet un pouvoir effectif sur la chose. Il peut par exemple utiliser la chose ou la déplacer. La volonté de transfert n’est pas importante, c’est-à-dire que le voleur devient propriétaire, même si l’ancien propriétaire ne le souhaite pas. Cependant, il arrive aussi que le Possession du voleur défectueuse c’est que. Le propriétaire légitime a droit, en raison de la privation de possession par le voleur, à un Droit à récupérer ses biens.
En Allemagne, la propriété est déjà régie par le Loi fondamentale à l’art. 14 Chacun peut acquérir la propriété de biens et l’État garantit ce droit.
Qu’en est-il de la propriété dans le cas décrit ? Le voleur devient-il également propriétaire de l’objet ? Non !
Alors qu’un possesseur a le pouvoir effectif sur une chose, le propriétaire dispose du pouvoir juridique. Le propriétaire et le possesseur peuvent être identiques. Par exemple, si vous achetez un sac de riz au supermarché, vous devenez propriétaire de la chose en la payant. En même temps, vous êtes propriétaire du sac de riz, car vous avez le pouvoir effectif sur la chose. Si vous prêtez votre perceuse à un voisin, vous restez propriétaire de la perceuse. Le voisin devient toutefois propriétaire et peut utiliser la perceuse pour percer des trous dans le mur de sa maison à sa guise.
Le site Les pouvoirs du propriétaire sont définis dans le § 903 BGB (Code civil allemand) est réglé. En se distinguant du propriétaire, le Propriétaire pas le pouvoir effectif sur une chose, mais la violence juridique. S’il n’est pas de toute façon également propriétaire de la chose, il peut demander au propriétaire de la chose, par exemple, de lui fournir les Publication Le propriétaire peut donc désormais exercer un pouvoir réel (possession) sur la chose.
En bref
Un voleur est en possession de la chose volée dès qu’il exerce un pouvoir effectif sur cette chose. La possession est toutefois considérée comme fautive. Le possesseur initial ou le propriétaire a un droit de restitution (le cas échéant, un droit à des dommages-intérêts) à l’encontre du voleur qui a volé illégalement (en l’exercice interdit de la puissance publique) a agi de la sorte. Le voleur n’est cependant pas propriétaire de la chose, puisque l’objet volé appartient légalement à quelqu’un d’autre.
Vous avez également des questions sur l’examen de compétence selon le § 34a GewO dans le domaine de la surveillance ?
Il vous suffit alors de les poser sur le forum : https://www.sachkunde-34a.de/sachkundepruefung-34a-forum-fragen
Un autre lecteur ou moi-même, en tant qu’auteur de cette page, pouvons certainement répondre à votre question.
D’ailleurs Si vous vous sentez tout à fait se préparer de manière approfondie à l’examen d’expertise et questions individuelles répondu à tout moment de manière compétente je peux vous fournir le eLearning sur www.sachkun.de recommandent. Vous pouvez trouver dans ce Portail d’apprentissage faire des recherches dans les questions déjà posées et poser ses propres questions sans limite. Les questions y sont traitées en temps réel par Professeurs spécialisésLes réponses à ces questions sont données par des experts qui connaissent parfaitement le sujet !